Introduction Au commencement de l’année 1887, le nommé Mehmed Chérif Effendi, propriétaire d’un terrain connu sous le nom de Ayaa, et situé aux environs de Saïda, l’ancienne Sidon, entreprit, en vertu d’un permis délivré par l’autorité locale, certains travaux dans sa propriété, à l’effet d’extraire des pierres à bâtir. Le 2 mars 1887, Mehmed Chérif Effendi, se conformant à la loi sur les antiquités, vint avertir le caïmakam de Saïda, Sadik Bey, qu’il avait découvert un puits au fond duquel il pouvait y avoir des tombeaux. Le caïmakam se rendit le lendemain sur le lieu de la découverte pour constater l’exactitude de cette information ; là il aperçut à fleur de terre, sur la paroi orientale du puits, un trou par lequel apparaissait l’intérieur d’un caveau contenant deux sarcophages, dont l’un était orné de sculptures. [...]

[Wir leben] heute in einem Zeitalter des westlichen Selbstzweifels [...]. Zugegeben, dass die westliche Dynamik sich als „eine Entwicklungsrichtung von universeller Bedeutung“ [Max Weber] erwiesen hat, so scheint doch die „Gültigkeit“ dieser Richtung überaus fragwürdig zu sein. Hat die westliche Dynamik nicht primär, oder doch letzten Endes, Zerstörung über die Menschheit gebracht? Hat sie nicht viele alte Hochkulturen zerstört und selbst im Leerlauf ihrer Rationalität geendet? Droht sie nicht, die uns umgebende Natur aufzufressen? [...]