Quellen/

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  • Das Kinderbuch „Das Walroß und die Veilchen“, von dem zweifellos begabten Schweizer Heinrich Strub, ist ein Beweis dafür, daß auch der wohlmeinende, dem Fortschritt zustrebende Künstler, den Gesetzen des geistigen und kulturellen Verfalls der imperialistischen Welt unterliegt. Ein Professor und ein Gärtner gerieten in Streit. Der Gärtner widerspricht dem Professor, der behauptet, daß Melonen als Südfrüchte nur im Süden wachsen können und erklärt ihm, daß es auf die Pflege ankäme und sowohl Melonen als auch Veilchen am Nordpol wachsen würden. [...]

  • Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]

  • The undersigned writers, comprising amongst them men and women of the most divergent political and social views, some of them having been for years ardent champions of good will towards Germany, and many of the extreme advocates of peace, are nevertheless agreed that Great Britain could not without dishonour have refused to take part in the present war. [...]

  • ''What I envy you is your liberty," observed M. de Bellegarde, „your wide range, your freedom to come and go, your not having a lot of people, who take themselves awfully seriously, expecting something of you. I live," he added with a sigh, „beneath the eyes of my admirable mother." [...]