Quellen/

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  • Die Wahrheit über die Pin-up-Girls, in: Cocktail (1951), H. 11, S. 24–26.

  • Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]

  • Wie ich Paris kennen- und lieben lernte, dies möchte ich Ihnen in gebotener Kürze berichten. Seien Sie versichert, ich werde weder von der politischen noch von der ökonomischen Bedeutung von Paris sprechen. Dafür wäre ich nicht der Richtige.[...]

  • Comment j’ai appris à connaître et aimer Paris, c’est ce que je voudrais vous dire pas trop longuement. Rassurez-vous, je ne vous parlerai ni du rôle politique ni du rôle économique de Paris; je ne serais pas pertinent.[...]

  • Die Idee ist mir oft gekommen, inmitten der Schönheiten der Weltausstellung, einen Blick auf die Lebensbedingungen und den Charakter der verschiedenen Arbeiter zu werfen, die der Ausstellung alle Ehre gemacht haben, und zu untersuchen, welche geheimnisvollen Beziehungen zwischen ihnen und ihren Arbeiten bestehen. Warum zeichnet sich jedes Land durch einen eigenständigen nationalen Stil aus, der dazu führt, dass die ausgestellten Möbel, Waffen, Spitzen und Stoffe sich in Paris, London, Wien oder Madrid so deutlich voneinander unterscheiden? [...]

  • ''What I envy you is your liberty," observed M. de Bellegarde, „your wide range, your freedom to come and go, your not having a lot of people, who take themselves awfully seriously, expecting something of you. I live," he added with a sigh, „beneath the eyes of my admirable mother." [...]