Wenn die Begeisterung für den Tango nachgerade auch zu einem wahren Rummel ausgeartet ist, so kann man sich gleichwohl nicht der Erkenntnis verschließen, daß sein Erscheinen eine Umwälzung in der Tanzwelt bedeutet, wie sie seinerzeit die Einführung der Polka und des Walzers hervorgebracht hat. Der französische Schriftsteller Richepin hat jüngst erst in seinem vielbesprochenem Vortrag in der Pariser Akademie davor gewarnt, den Tango wegen seiner niederen Herkunft gering einzuschätzen, und dabei darauf verwiesen, daß die meisten unserer Tänze aus den Kreisen des Volkes den Weg in die Ballsäle gefunden haben. Man darf weiterhin auch nicht außer acht lassen, daß es sich die Tanzlehrer mit Fleiß haben angelegen sein lassen, die Auswüchse, die der Tango einmal besaß, soweit abzuschleifen, um ihn salonfähig zu machen. [...]
Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]