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  • Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]

  • Internationaler Tonfilm? (1931) Der stumme Film war keineswegs in dem Sinne international, in dem die landwirtschaftlichen Maschinen und die Kragenknöpfchen es sind. Gewiß, da er das Glück hatte, keine Worte machen zu müssen – es sei denn in den Bildtiteln, die leicht übersetzbar waren –, konnte er überall hindringen, wo man zu sehen verstand. Aber die Sprache der Bilder ist kaum minder national bedingt wie die der Musik. Und so wenig die musikalische Ausdrucksweise eines Volkes einem anderen ohne weiteres einzugehen vermag, ebensowenig entsprechen die visuellen Verständigungsmittel der verschiedenen Nationen von vornherein einem natürlichen Esperanto. […]