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  • Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]

  • Morillion [bei Genf], 2. Juli 1781, „Ich glaube gern, dass Du mit mir nicht ganz einer Meinung bist und dass Du den brillanten Winter, den Du in Lyon verbringst, nicht selten bedauerst. In Deinem Alter solltest Du aber bedenken und wirst es eigentlich auch fühlen, dass Du von dieser Zeit, in der Du Frankreich als Kind gesehen hast, Dein ganzes Leben lang profitieren kannst. Ich zweifle keinen Augenblick daran, dass Du Frankreich wiedersehen willst, wenn sich Deine Einstellung geändert hat, denn um an Dein Ziel zu gelangen, gibt es keine bessere Möglichkeit, als aus der jetzigen Zeit einen Nutzen zu ziehen.“ [...]

  • Morillion, [bei Genf], 2. Juli 1781 , „Je crois bien que tu ne pense pas tout à fait comme Moi, et que L’hiver brillian que tu a passés a Lyon bien souvent te donne quelque regrets; Mai à Lâge ou tu est, Lon commence a réfléchir et à sentir que dans tous Les Etats de la vie lon peut se faire une resource tu a vie la france comme Enfant, Je ne doutte Nulment que tu ne dessire la revoire en ayant pris une forme differente;“ [...]