Quellen/

Sortieren nach:
  • Voici, de tous ces gâte-papier, le sous-genre le plus heureux : il vit sur les feuilles comme un ver à soie, tout en s’inquiétant, comme cet insecte, de tout ce qui file. Les feuilletonistes, quoi qu’ils disent, mènent une vie joyeuse, ils règnent sur les théâtres ; ils sont choyés, caressés ! Mais ils se plaignent du nombre croissant des premières représentations, auxquelles ils assistent en de bonnes loges, avec leurs maîtresses. Chose étrange ! Les livres les plus sérieux, les œuvres d’art ciselées avec patience et qui ont coûté des nuits, des mois entiers, n’obtiennent pas dans 1es journaux la moindre attention et y trouvent un silence complet ; tandis que le dernier vaudeville du dernier théâtre, les flonflons des Variétés, nés de quelques déjeuners, enfin les pièces manufacturées[3] aujourd’hui comme des bas ou du calicot, jouissent d’une analyse complète et périodique. [...]

  • Die Idee ist mir oft gekommen, inmitten der Schönheiten der Weltausstellung, einen Blick auf die Lebensbedingungen und den Charakter der verschiedenen Arbeiter zu werfen, die der Ausstellung alle Ehre gemacht haben, und zu untersuchen, welche geheimnisvollen Beziehungen zwischen ihnen und ihren Arbeiten bestehen. Warum zeichnet sich jedes Land durch einen eigenständigen nationalen Stil aus, der dazu führt, dass die ausgestellten Möbel, Waffen, Spitzen und Stoffe sich in Paris, London, Wien oder Madrid so deutlich voneinander unterscheiden? [...]

  • As I pass through the wide streets, I am delighted with everything I see. The houses so lofty and clean, and white, the novel appearance of the trees planted along the pavements, the fine buildings, the massive bronze lamps, and the magnificent cafés, the tinkling of bells on the horses, so singular to my ear. […]